”Il n’y a pas de synonymes. Il n’y a que des mots nécessaires, et le bon écrivain les connaît.”
-Jules Renard
Je suis une amoureuse des mots, j’aime trouver la justesse dans leur combinaison pour exprimer une idée, une émotion. Trouver exactement les mots qu’il faut, c’est un peu comme écrire une partition. Ils doivent sonner juste. Pas de place pour les fausses notes.
Etant une passionnée de linguistique, je ne m’arrête pas à la seule riche et belle langue de Molière. Je m’intéresse aussi à celle de Shakespeare, non moins belle et riche.
Et, le français comme l’anglais étant parlés dans différents pays, ces langues s’accompagnent des us, coutumes et cultures des pays dans lesquels ils sont maniés. Il est approprié, voire nécessaire, d’en tenir compte dans l’exercice de la rédaction et celui de la traduction.
J’ai voyagé dans de nombreux pays et, je parle d’expérience, les mots ne sont pas utilisés ni perçus de la même manière d’un pays à l’autre, même lorsque la langue officielle est la même. S’adapter à la culture est comme un travail de comédien (Quitte à faire référence à Molière et Shakespeare, autant continuer).
L’art de manier les mots pour transmettre une émotion, une énergie, un caractère, tout en respectant votre identité ou l’identité de votre entreprise est un atout qui peut faire toute la différence.
La rédaction d’un texte est un savoir-faire qui nécessite d’utiliser les subtilités de la langue pour en tirer le meilleur. Les mots et leur impact sont d’une grande importance ; Ils permettent de créer une atmosphère, de générer une émotion, une opinion, de définir un contexte et de susciter un intérêt chez le lecteur. C’est une étape cruciale, quel que soit le type de texte à rédiger.
Ecrire un texte destiné à un ou plusieurs clients, à un public (large ou restreint), ce n’est pas comme écrire une liste de courses ou une note de frais. Il faut cibler le type de lecteur et, au-delà du message à transmettre, la perception qu’il aura des informations. Il est primordial de choisir le bon angle sous lequel aborder tel ou tel sujet, les informations à mettre en valeur et la manière de les formuler pour qu’elles soient correctement reçues, appréciées et éventuellement retransmises ensuite.
Par exemple ici, je n’insiste pas sur mes compétences en orthographe, en grammaire, en syntaxe ou en vocabulaire. Je mets plutôt en évidence mes capacités à saisir une personnalité, un contexte, une atmosphère, une émotion... Parce que je cible un auditoire qui souhaitera faire appel à mes services pour tirer le meilleur parti des mots et de leur impact, et pas uniquement pour écrire une ordonnance sans faute d’orthographe sur le nom des médicaments.
L’écriture nécessite une certaine sensibilité, une adaptabilité et une fluidité dans l’expression verbale. C’est un art et une science à la fois.
Et pour la traduction... eh bien c’est pareil. Il faut saisir l’essence du texte, l’intention derrière les mots, la personnalité derrière l’écrit. Il ne s’agit pas simplement de traduire des formules grammaticalement correctes. Il s’agit de transmettre la quintessence de l’auteur ou, à minima, de faire passer le message qu’il véhicule, d’induire les mêmes ressentis.
Quel est l’intérêt de passer par un service de traduction au lieu d’un traducteur en ligne ?
C’est très simple : La contextualisation.
Un logiciel ne tiendra pas compte du contexte ou de l’intention. Certains mots ou expressions ne peuvent pas se traduire littéralement. D’autres peuvent l’être, et le résultat sera grammaticalement correct, mais… personne ne le dirait de cette manière ! Vous risqueriez d’être vite démasqué et de perdre en crédibilité.
Vos textes doivent être étudiés avec soin afin de trouver la traduction la plus fidèle et adéquate, tout en tenant compte des usages, expressions, contextes… et sans perdre en qualité sur le message de fond. Il faut garder intègre l’émotion et les subtilités de l’ambiance crées par l’auteur. Il faut savoir tenir compte de la perception du lecteur.